Titre : The fault in our stars Auteur : John Green Langue d'origine : anglaise Critique : VO Date de publication : 2014 Prix : $6,50 Résumé : Despite the tumor-shrinking medical miracle that has bought her a few years, Hazel has never been anything but terminal, her final chapter inscribed upon diagnosis. But when a gorgeous plot twist named Augustus Waters suddenly appears at Cancer Kid Support Group, Hazel’s story is about to be completely rewritten. Insightful, bold, irreverent, and raw, The Fault in Our Stars is award-winning-author John Green’s most ambitious and heartbreaking work yet, brilliantly exploring the funny, thrilling, and tragic business of being alive and in love. |
La critique par Matt'
J'ai lu The fault in our stars (Nos étoiles contraires en français) pour mon book club en anglais donc. J'avoue qu'autrement, je pense que je ne l'aurai jamais lu. De manière générale, je ne suis pas très attirée par les best-sellers, allez savoir pourquoi. En plus tout le monde me disait de ce livre/film qu'il était déprimant, horrible, etc. Forcément moi ça me donnait encore moins envie de le découvrir. Et puis bon, puisque j'ai eu l'occasion de le lire en anglais, je me suis dit que ça pouvait être sympa quand même, de lire une oeuvre de John Green. Je me suis donc lancée.
Il faut savoir que cela reste déjà quelque chose d'assez simple à lire, je veux dire, je ne suis pas du tout douée en anglais pourtant j'ai tout compris, même les subtilités. Le seul truc qui restait obscur pour moi, c'était les noms de maladies mais que même en français, je n'aurai pas compris, donc bon. The fault in our stars, c'est l'histoire (pour ceux qui ne savent pas) d'Hazel, une jeune fille de seize ans qui a un cancer des poumons et qui ne se fait aucun espoir sur sa situation. Elle sait qu'elle va mourir et par conséquent, elle n'a plus goût à grand chose. Et puis elle rencontre Augustus Waters (Gus pour les intimes), un autre jeune de son âge atteint d'un cancer des os (si j'ai bien compris). Et puis bon, inutile de vous faire un dessin mais les deux jeunes gens vont tomber amoureux malgré tout et s'attacher l'un à l'autre. C'est donc l'histoire de leur relation et aussi du cancer, quand même.
Bon alors est-ce que j'ai été séduite, moi-aussi, par ce livre mondialement connu ? Alors effectivement je dois reconnaître qu'il y a beaucoup de choses qui m'ont plu dans ce livre, j'ai beaucoup aimé et je l'ai lu assez rapidement, curieuse de découvrir la fin. Déjà, le style de l'auteur est agréable. Je ne peux pas dire qu'il soit vraiment très poussé, très travaillé et puis comme je l'ai lu en anglais je me rends moins compte mais c'était plutôt fluide. Après il y a pas mal de langage familier, si vous n'êtes pas coutumier du fait en anglais... je sais que cela a posé quelques problèmes à des personnes que je connais et qui l'ont lu donc je préfère vous prévenir. Personnellement cela ne m'a en tout cas pas dérangée ! Après je pense que si j'avais lu le livre en français, j'aurai beaucoup moins accroché au style. Je ne peux pas l'affirmer mais je le pense.
Hazel et Augustus sont des personnages que j'ai beaucoup apprécié. On comprend très bien pourquoi, au début du livre, Hazel n'a plus envie de se battre, après tant d'années difficiles et du coup j'ai bien accroché avec elle. De même que la relation entre elle et Augustus m'a convaincue. Même si elle va un poil trop vite à mon goût, je la trouve bien amenée, logique et je trouve que ce sont deux personnages qui vont bien ensemble, qu'il est agréable de suivre. La façon dont Augustus semble réapprendre la vie à Hazel m'a énormément plu aussi, cela montre à quel point il suffit finalement de pas grand chose, une rencontre par hasard, pour changer complètement la vie de quelqu'un. Et leur relation est vraiment touchante, même si on se doute déjà dès le début de la manière dont ça va se terminer (mais je ne vous dirai pas). Après, le roman ne tourne quasiment qu'autour de eux-deux et c'est dommage qu'un personnage comme Isaac, par exemple, ne soit pas plus développé, de même que la mère d'Hazel ou même son père. Sinon, toute l'histoire avec l'auteur, Van Houten, m'a vraiment surprise et je trouve que c'est le petit plus, la petite touche ajoutée à l'histoire qui la rend aussi savoureuse. Van Houten, c'est l'auteur dont Hazel apprécie énormément le livre et qu'elle fait lire à Augustus, qui adore également. Ils vont aller jusqu'aux Pays-Bas pour rencontrer ce fameux auteur, Van Houten et... oui, c'est vraiment un personnage surprenant qui apporte beaucoup à l'histoire. Je ne sais pas comment expliquer cela exactement mais en tout cas, très bon choix de la part de l'auteur !
Après je ne sais pas si il parle bien du cancer ou pas, parce que je ne sais pas comment ça se passe, etc. Ce qui est certain c'est que ce livre est malgré tout très émouvant et par moments, un peu pesant peut-être – bon, une jeune fille de seize ans qui ne pense qu'à la mort... - et grave, aussi. Parce que oui, on y traite de la maladie, de l'amour mais aussi de la mort, de l'alcoolisme et de l'adolescence donc tous ces sujets-là réunis, ça donne quelque chose qui nous ferait presque pleurer par moments. Cela dit, je n'ai pas été non plus déprimée à ma lecture, donc voilà !
Je suis désolée, cette critique est une fois de plus un peu brouillonne mais en tout cas j'ai beaucoup aimé ce livre et cette histoire, de même que les personnages qui sont très attachants (surtout Hazel en fait). Après ce n'était pas la découverte du siècle dans le sens où ça n'a rien d'exceptionnel non plus, mais en tout cas c'est une lecture sympathique ! Je ne sais pas si je vais regarder le film, j'ai peur que mon avis sur cette histoire soit gâché ou d'être déçue. Bref, ce n'est pas de la grande littérature et je vous conseille de le lire directement en anglais si c'est à votre portée, mais le sujet choisi est touchant, et pas si courant que ça, donc voilà. Et puis je sais pas, y'a un truc, dans ce roman, je ne saurai dire quoi avec précision... une étincelle d'espoir malgré tout, peut-être ?
J'ai lu The fault in our stars (Nos étoiles contraires en français) pour mon book club en anglais donc. J'avoue qu'autrement, je pense que je ne l'aurai jamais lu. De manière générale, je ne suis pas très attirée par les best-sellers, allez savoir pourquoi. En plus tout le monde me disait de ce livre/film qu'il était déprimant, horrible, etc. Forcément moi ça me donnait encore moins envie de le découvrir. Et puis bon, puisque j'ai eu l'occasion de le lire en anglais, je me suis dit que ça pouvait être sympa quand même, de lire une oeuvre de John Green. Je me suis donc lancée.
Il faut savoir que cela reste déjà quelque chose d'assez simple à lire, je veux dire, je ne suis pas du tout douée en anglais pourtant j'ai tout compris, même les subtilités. Le seul truc qui restait obscur pour moi, c'était les noms de maladies mais que même en français, je n'aurai pas compris, donc bon. The fault in our stars, c'est l'histoire (pour ceux qui ne savent pas) d'Hazel, une jeune fille de seize ans qui a un cancer des poumons et qui ne se fait aucun espoir sur sa situation. Elle sait qu'elle va mourir et par conséquent, elle n'a plus goût à grand chose. Et puis elle rencontre Augustus Waters (Gus pour les intimes), un autre jeune de son âge atteint d'un cancer des os (si j'ai bien compris). Et puis bon, inutile de vous faire un dessin mais les deux jeunes gens vont tomber amoureux malgré tout et s'attacher l'un à l'autre. C'est donc l'histoire de leur relation et aussi du cancer, quand même.
Bon alors est-ce que j'ai été séduite, moi-aussi, par ce livre mondialement connu ? Alors effectivement je dois reconnaître qu'il y a beaucoup de choses qui m'ont plu dans ce livre, j'ai beaucoup aimé et je l'ai lu assez rapidement, curieuse de découvrir la fin. Déjà, le style de l'auteur est agréable. Je ne peux pas dire qu'il soit vraiment très poussé, très travaillé et puis comme je l'ai lu en anglais je me rends moins compte mais c'était plutôt fluide. Après il y a pas mal de langage familier, si vous n'êtes pas coutumier du fait en anglais... je sais que cela a posé quelques problèmes à des personnes que je connais et qui l'ont lu donc je préfère vous prévenir. Personnellement cela ne m'a en tout cas pas dérangée ! Après je pense que si j'avais lu le livre en français, j'aurai beaucoup moins accroché au style. Je ne peux pas l'affirmer mais je le pense.
Hazel et Augustus sont des personnages que j'ai beaucoup apprécié. On comprend très bien pourquoi, au début du livre, Hazel n'a plus envie de se battre, après tant d'années difficiles et du coup j'ai bien accroché avec elle. De même que la relation entre elle et Augustus m'a convaincue. Même si elle va un poil trop vite à mon goût, je la trouve bien amenée, logique et je trouve que ce sont deux personnages qui vont bien ensemble, qu'il est agréable de suivre. La façon dont Augustus semble réapprendre la vie à Hazel m'a énormément plu aussi, cela montre à quel point il suffit finalement de pas grand chose, une rencontre par hasard, pour changer complètement la vie de quelqu'un. Et leur relation est vraiment touchante, même si on se doute déjà dès le début de la manière dont ça va se terminer (mais je ne vous dirai pas). Après, le roman ne tourne quasiment qu'autour de eux-deux et c'est dommage qu'un personnage comme Isaac, par exemple, ne soit pas plus développé, de même que la mère d'Hazel ou même son père. Sinon, toute l'histoire avec l'auteur, Van Houten, m'a vraiment surprise et je trouve que c'est le petit plus, la petite touche ajoutée à l'histoire qui la rend aussi savoureuse. Van Houten, c'est l'auteur dont Hazel apprécie énormément le livre et qu'elle fait lire à Augustus, qui adore également. Ils vont aller jusqu'aux Pays-Bas pour rencontrer ce fameux auteur, Van Houten et... oui, c'est vraiment un personnage surprenant qui apporte beaucoup à l'histoire. Je ne sais pas comment expliquer cela exactement mais en tout cas, très bon choix de la part de l'auteur !
Après je ne sais pas si il parle bien du cancer ou pas, parce que je ne sais pas comment ça se passe, etc. Ce qui est certain c'est que ce livre est malgré tout très émouvant et par moments, un peu pesant peut-être – bon, une jeune fille de seize ans qui ne pense qu'à la mort... - et grave, aussi. Parce que oui, on y traite de la maladie, de l'amour mais aussi de la mort, de l'alcoolisme et de l'adolescence donc tous ces sujets-là réunis, ça donne quelque chose qui nous ferait presque pleurer par moments. Cela dit, je n'ai pas été non plus déprimée à ma lecture, donc voilà !
Je suis désolée, cette critique est une fois de plus un peu brouillonne mais en tout cas j'ai beaucoup aimé ce livre et cette histoire, de même que les personnages qui sont très attachants (surtout Hazel en fait). Après ce n'était pas la découverte du siècle dans le sens où ça n'a rien d'exceptionnel non plus, mais en tout cas c'est une lecture sympathique ! Je ne sais pas si je vais regarder le film, j'ai peur que mon avis sur cette histoire soit gâché ou d'être déçue. Bref, ce n'est pas de la grande littérature et je vous conseille de le lire directement en anglais si c'est à votre portée, mais le sujet choisi est touchant, et pas si courant que ça, donc voilà. Et puis je sais pas, y'a un truc, dans ce roman, je ne saurai dire quoi avec précision... une étincelle d'espoir malgré tout, peut-être ?
Note finale 7,5/10